Les entreprises et les recruteurs le savent bien : le coût d’une « mauvaise » embauche peut atteindre des sommes astronomiques, une fois l’ensemble des coûts indirects pris en compte.
Bien conscientes de ces enjeux, les entreprises tentent de limiter ce risque en consacrant des budgets parfois très importants à leurs processus de recrutement.
Dès lors, comment se fait-il que des candidats, qui avaient pourtant semblé excellents lors de leurs entretiens de recrutement, puissent montrer des performances très décevantes une fois en poste ?